Vous avez appris à tout gérer seul(e).
Demander de l’aide vous met mal à l’aise, comme si cela révélait une faiblesse, un manque, une incapacité.
Alors vous vous épuisez, vous portez trop, vous souffrez en silence, jusqu’à craquer parfois… mais sans jamais oser demander.
Au fond, vous aimeriez pouvoir tendre la main sans honte, sans peur du jugement, sans culpabilité.
Ce blocage prend racine dans l’enfance, lorsque montrer sa vulnérabilité entraînait humiliation, rejet ou indifférence.
Il est renforcé par les mémoires transgénérationnelles de lignées où survivre signifiait “se débrouiller seul” et “ne rien devoir à personne”.
Et jusque dans le plan de l’âme, où persiste la croyance que demander de l’aide est un signe de faiblesse, un danger ou une dette.
🔷 Difficulté à demander de l’aide, même dans les situations critiques
🔷 Tendance à tout porter seul(e), jusqu’à l’épuisement
🔷 Peur de déranger, d’être jugé(e) ou rejeté(e)
🔷 Sentiment de honte ou de culpabilité lorsqu’on reçoit du soutien
🔷 Isolement émotionnel, incapacité à partager ses difficultés
🔷 Corps tendu, douleurs dans les épaules, fatigue chronique
🔷 Relations déséquilibrées où vous donnez plus que vous ne recevez
🔷 Vide intérieur renforcé par l’impression de ne pouvoir compter sur personne
🟣 Le soulagement immédiat de la peur et de la honte de demander de l’aide
🟣 La guérison des blessures d’humiliation et de rejet vécues dans l’enfance
🟣 La libération des mémoires transgénérationnelles de solitude et de débrouille forcée
🟣 La dissolution des empreintes karmiques où l’appel à l’aide était perçu comme dangereux
🟣 La capacité à demander du soutien sans peur ni culpabilité
🟣 L’équilibre intérieur entre autonomie et interdépendance
🟣 La paix intérieure de ne plus tout porter seul(e)
🟣 La certitude que demander de l’aide est un acte de force et d’amour envers soi